petit dépêche d'actualité prise sur le site de l'alliance végétarienne:
Les Freegans... Libres et Vegans !
« [...] Cette forme d'activisme voit le jour vers la fin des années 80 et s'attache à promouvoir une participation minimum à l'économie traditionnelle. Fusion de divers mouvements alternatifs, le Freeganisme boycotte en masse tout ce qui est lié de près ou de loin au profit et à l'exploitation (de l'homme, des animaux, de l'environnement).
Bye-bye studios confortables, voitures, shopping, restaurants. Et welcome liberté (freedom) et végétarisme strict (veganism), dont la contraction (free-gan) définit l'essentiel de ce mode de vie. |...] Et vlan pour la société de consommation !
Frappés les Freegans ? Parce qu'ils se déplacent à pied ou sur des roulettes (vélo, skate-board) et proposent des ateliers où l'on apprend à réparer son grille-pain plutôt que d'en racheter un neuf ? Au contraire, un pas encore trop timide, rétorquent-ils. Et d'énoncer, entre chaque bouchée de gloubiboulga, des faits qui, eux aussi, restent sur l'estomac : aux Etats-Unis 40 à 50 % de la production alimentaire est jetée, alors que 4,4 millions d'Américains ne mangent pas à leur faim [...] »
ISA Magazine - Mai 2006
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voilà un mot que je ne connaissais pas, et dans lequel je me reconnais bien : allier la décroissance au veganisme!
ce mot va t'il se faire de plus en plus connaitre ou alors finir oublié? je me le demande...
ce terme semble apparement peu développé sur le net français, mais il a tout de meme un petit article sur wikipédia, qui nous donne déjà un autre aspect du freeganism:
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Freegan
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Le terme Freegan désigne une pratique qui consiste à récupérer des aliments dans les poubelles des magasins de grande distribution. Ce terme, qui n'a pas encore réellement d'équivalent en français, est formé des termes anglophones Free (libre/gratuit) et Vegan (végétalien). Par commodité, nous parlerons ici de freeganisme pour se référer au mouvement et de glaneurs pour se référer à ses pratiquants.
Motivations
Les glaneur ont, pour la plupart, une motivation d'abord éthique plutôt qu'économique. Ils désirent tourner le dos au système dans lequel ils vivent et au gaspillage qu'il produit. Ce mouvement n'est pas sans lien avec la philosophie anarchiste.
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